2017/2018-Tour ronde à côté de l'hôpital 1 vue Numéro de la fiche : 28 Légende : Je suis contente de participer à ce concours tellement ma ville est riche en histoire et monuments historiques. Cela a été difficile de choisir une seule photo Type de support : photo Format : jpg, Couleur Taille ou durée : 2,98 Mo Date de la prise de vue : 2018-03-14 Auteur : Lise BULAND Etablissement scolaire : TREVOUX - Collège Jean Moulin Nom du monument : Hôpital Montpensier Commune : Trévoux (Ain, France) Adresse : 14 Rue de l'Hôpital Coordonnées WGS84 : 45.940897, 4.771545 En savoir plus : H ôpital Montpensier de Trévoux Nombre de votes pour cette photo : 38 Année du concours : 2017/2018 Classement du jury : 47e ex aequo Classement des internautes : 23e |
Vue sur la tour ronde depuis la tour octogonale 1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 5904 Lieu ou édifice : Château fort Commune : Trévoux (Ain, France) Description : Au 12e siècle, la seigneurie de Trévoux appartient aux sires de Villars qui contrôlent la Dombes. A la fin du 13e siècle ou au début du 14e siècle, les sires de Thoire-Villars élèvent un donjon d'où partent deux courtines délimitant un espace triangulaire. En 1360, trois nouvelles tours viennent agrandir l'édifice. Il passe ensuite dans l'escarcelle des Bourbon-Montpensier, puis en 1822 il devient la propriété du Département de l'Ain. Son mauvais état nécessita des travaux de consolidation au 20e siècle. Ainsi il continue de dominer la Saône et ses alentours. Type de support : photo Taille ou durée : 2000x3000 px 3 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2018-05-15 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
Légende inscrite sur la carte postale : TREVOUX. - Ruines d'un Château féodal, (XII. Siècle.) - Tour Ronde. 1 vue Cote archives départementales : 5 Fi 427-98 Commune : Trévoux (Ain, France) |
Légende inscrite sur la carte postale : 38 - Trévoux (Ain) - Ruines d'un Château féodal - Tour ronde (XIIe siècle) 1 vue Cote archives départementales : 5 Fi 427-103 Commune : Trévoux (Ain, France) |
Légende inscrite sur la carte postale : TREVOUX. - Ruines d'un Château féodal, (XII. Siècle.) - Tour Ronde. 1 vue Cote archives départementales : 5 Fi 427-137 Commune : Trévoux (Ain, France) |
Légende inscrite sur la carte postale : Château des Allymes - La tour ronde 1 vue Cote archives départementales : 5 Fi 4-67 Commune : Ambérieu-en-Bugey (Ain, France) |
Légende inscrite sur la carte postale : TREVOUX (Ain) - 07. - La vieille Tour ronde 1 vue Cote archives départementales : 5 Fi 427-96 Commune : Trévoux (Ain, France) |
1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 3886 Lieu ou édifice : Château de Trévoux Commune : Trévoux (Ain, France) Type de support : photo Taille ou durée : 2000x1212 px Format : Jpeg 800 dpi, Noir et blanc Date de prise de vue : 2010-09-08 Auteur : Département de l'Ain |
Couverture tour ronde en tavaillon 1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 3896 Lieu ou édifice : Château de Trévoux Commune : Trévoux (Ain, France) Type de support : photo Taille ou durée : 2592x3456 px 3 Mo Format : Jpeg 72 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2008-01-30 |
1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 3893 Lieu ou édifice : Château de Trévoux Commune : Trévoux (Ain, France) Type de support : photo Taille ou durée : 2592x3456 px 3 Mo Format : Jpeg 72 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2008-01-30 |
1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 3842 Lieu ou édifice : Château de la Bâtie Commune : Montceaux (Ain, France) Type de support : photo Taille ou durée : 1380x2240 px Format : Jpeg 72 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2003-03-20 Auteur : Chateau, château fort |
1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 3894 Lieu ou édifice : Château de Trévoux Commune : Trévoux (Ain, France) Type de support : photo Taille ou durée : 2592x3456 px 3 Mo Format : Jpeg 72 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2008-01-30 |
Tour ronde et paysage en bord de Saône 1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 3895 Lieu ou édifice : Château de Trévoux Commune : Trévoux (Ain, France) Type de support : photo Taille ou durée : 3456x2592 px 3 Mo Format : Jpeg 72 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2008-01-30 |
Pérouges - Patrimoine(s) de l'Ain Résumé : Pérouges Pérouges, riche cité commerçante du Moyen-Age, figure parmi les villages pittoresques du département. « Ville imprenable », comme inscrit au fronton de la porte haute, assise sur une éminence du plateau de Dombes, elle abrite derrière ... |
1 vue Fiche architecture : 1AU8 Commune : Ambronay (Ain, France) Datation : 16e siècle, 19e siècle Description : Le château des Blains est édifié entre 1858 et 1862 selon les plans de l'architecte lyonnais Jean-Etienne Giniez à la demande de Ernest Blains. Il semble qu'il soit édifié sur les ruines de la demeure fortifiée de la famille prévôtale De Forest construite au 16e siècle. Au sud, une tour ronde flanque l'ensemble de bâtiments. Une fois franchi le seuil d'entrée, l'on accède à l'étage par un escalier monumental dédoublé au palier et donnant sur une grande salle de réception. Le château des Blains a été acquis par la commune en 1963 et abrite aujourd'hui la mairie d'Ambronay. Géolocalisation (Lambert) : 0834191 ; 2116458 |
Pigeonniers - Patrimoine(s) de l'Ain Résumé : Pigeonniers Constructions singulières du patrimoine rural, les pigeonniers abondent dans l’Ain. Le Val de Saône s’enorgueillit de posséder une centaine de pigeonniers bâtis en pisé sur les 300 à 400 recensés en France. Une autre originalité ... |
Demeure, dit château de Sainte-Croix 15 vues Fiche édifice : 144 Commune : Sainte-Croix (Ain, France) Rédacteur de la notice : Jusselme André Type : Maison de plaisance Fonction : Largement transformé à plusieurs reprises dans son histoire, le "château" est aujourd'hui un centre de loisirs géré par l'association Vacances Léo Lagrange sous l'appellation "Domaine de Sainte-Croix" et qui accueille des vacanciers, des mariages, des séminaires et des expositions. Datation : 1829,1ère moitié 19e siècle Modifications : Cet édifice a été construit en 1829 sur les vestiges d’une maison-forte féodale dont l'origine remonte au 13e siècle. Il a été l’objet de transformations secondaires en 1891 et en 1995. Description : Le château est situé au bord du plateau délimitant à l'est le vallon de la Sereine dans lequel se niche le bourg de Sainte-Croix. Il est bâti sur un soubassement de caves voûtées dont apparaissent quelques ouvertures peu esthétiques, à l'ouest et au sud. Il se compose d’un grand corps rectangulaire de 25 mètres sur 15 mètres, d’orientation ouest-est, flanqué de deux tours carrées à ses angles sud-ouest et sud-est. Sa façade principale, au sud, compte 17 ouvertures et s’ouvre sur une grande terrasse dominant un vaste parc arboré. La façade ouest, forte de 13 ouvertures, surplombe le vallon d’une quarantaine de mètres. La façade nord, très défigurée par des aménagements techniques assez récents, ne présente aucun intérêt architectural et historique. La tour sud-est est la partie la plus ancienne. Il y subsiste quelques éléments architecturaux intéressants : quatre ouvertures en anse de panier sont encadrées de pierres blanches rectangulaires disposées en bossages ; quatre petites croix marquent les emplacements d’anciennes archères qui existent toujours à l’intérieur de la tour mais y ont été recouvertes par des galandages ; aux chaînages, des pierres disposées en harpe rappellent le motif des baies. Matériaux gros oeuvre : Brique (carron),Pierre taillée Matériaux ouvertures : Pierre taillée Matériaux couvertures : Tuile en écaille,Tuile mécanique Inscriptions : La construction d'un auvent d'accueil sur la façade sud en 1995 occulte plusieurs portes-fenêtres qui sont surmontées de frontons portant diverses dates: "1260" pour l'origine présumée de la famille de Crues, dernière propriétaire du château avant la Révolution française ; "1727" pour l'arrivée de Camille de Crues à la seigneurie ; "1829" pour la grande transformation effectuée par la famille Crozier après son acquisition en 1828 ; "1891" pour des aménagements plus secondaires effectués par Bruno Faure, descendant de la famille Crozier. On trouve aussi l'inscription "DE CRUES", et enfin, deux reliefs à connotation religieuse et monarchiste (coeurs surmontés d'une croix et appuyés sur une fleur de lys). La plupart de ces inscriptions et reliefs semblent être conservés sous les aménagements récents. Les dates 1260 et 1727 se trouvaient également sur les jambages d'une cheminée détruite en 1995. On les retrouve encore sur le portail de la chapelle du cimetière, dite chapelle des seigneurs de Crues. Particularités : Le sous-sol du château compte plusieurs caves voûtées, séparées par des murs en carrons anciens. Une seule d'entre elle est accessible (les autres sont murées). Dans l'un de ses angles, une porte semble être murée ; selon des anciens, elle aurait pu ouvrir sur un souterrain menant à la chapelle située en contrebas dans le vallon. Par ailleurs, si l'intégralité des aménagements intérieurs est transformée en 1995, un vestige d'avant 1829 subsiste au rez-de-chaussée de la tour la plus ancienne : il s'agit d'un plafond peint en bleu décoré par quatre fleurs de lys. Historique : Une maison-forte existe à Sainte-Croix en 1281, très vraisemblablement sur le même site que le château actuel. Elle est en la possession du seigneur Hugues Palatin, vassal du seigneur Humbert de Montluel, qui en a hérité de sa mère Amphélise, épouse de Hugue de Gleteins et elle-même héritière de Pierre Arnaud, chevalier. Plusieurs sièges et assauts subis entre 1325 et 1330 lors de la guerre entre Savoyards et Dauphinois ont ensuite pu modifier sa structure initiale. Avant les transformations radicales de 1829, l'édifice a la forme d'un U ouvert au couchant. Son bâti, observé sur une partie ancienne, est en carrons vraisemblablement fabriqués localement (lieu-dit "La Tuilerie" à proximité). Les fondations sont assez peu profondes et l'épaisseur des murs à la base est d'environ 80 cm. La courtine sud, longue d'environ 20 mètres et large de 5 mètres, se termine à l’ouest par une tour ronde surplombant la vallée de la Sereine. On accède à la cour intérieure à l'est par le porche d'une tour rectangulaire (7 m sur 5 m), dont le côté situé au levant est le seul vestige visible de l'ancien château. Les derniers occupants du bâtiment ancien sont les descendants du seigneur Pierre-François du Breuil de Crues, exécuté à Lyon en 1793 pour activités contre-révolutionnaires. En 1828, la vente est faite aux frères Crozier, négociants lyonnais. Dès 1829, ces derniers transforment la maison-forte en une résidence bourgeoise, détruisant la courtine sud et la tour ronde, et doublant la largeur de l'aile nord du bâtiment. En 1891, ont lieu divers aménagements de façade et la création de nombreuses ouvertures au sud et à l’ouest. Les derniers propriétaires privés du château le vendent en 1967 au comité d'entreprise d'EDF qui effectue en 1995 des transformations dont les buts sont de mettre l'édifice aux normes légales d'accessibilité/sécurité et d’en faire un véritable centre de loisirs. Geolocalisation WGS84 : 45.89263205197281 - 5.056018978357315 Protection : Aucune Documentation : Humbert de Varax, Histoire locale de la Principauté et de la Souveraineté de Dombes, Tome 2, 296, Humbert de Varax, 1999, Archives Départementales de l'Ain. BIB USU 65-1 à 2; Terrier de la Châtellenie de Montluel, https://archives.cotedor.fr/v2/ark:/71137/g5b71cc59b9c63561e771388eb1d063d8/6b8833cb083daaa43d511a6fd483a87b/1/ZnJhZDAyMV9iXzAwMDY3Ml9wYXJ0XzAwMDAxLmpwZw==, Archives Départementales de la Côte d'Or. Cote B672; André Jusselme, Sylvie Genevois, Sainte-Croix. 800 ans d'histoire, Association Comm'Une Sereine, 2018, https://fr.calameo.com/read/006062490017beaf7d9db; Acte de vente des propriétés du comte de Sainte-Croix aux frères Crozier, 1828, Archives Départementales du Rhône, 3E10608; Géomètre Bertrand, Plan Crozier, 1828, Archives Communales de Sainte-Croix; Géomètre Jantet, Cadastre napoléonien, 1834, www.archives.ain.fr/ark:/22231/vta2cd0afa5d9bd7f11/dao/0#id:953987392, Archives Départementales de l'Ain. Cote 1777W437-6 Feuille 3; Brigade topographique de la REN3, Plan CAS EDF Lyon, Propriété de Sainte-Croix, 1970 |
10 vues Fiche édifice : 84 Commune : Châtillon-sur-Chalaronne (Ain, France) Rédacteur de la notice : Megard Christophe (St Guignefort) Type : Château-fort Fonction : Ce lieu, auparavant résidence du seigneur, est aujourd'hui un site touristique visité. Régulièrement, des spectacles occupent les espaces. Datation : 1287,Limite 13e siècle 14e siècle Modifications : La tour carrée est construite au 15e siècle. A partir du 16e siècle, l'ensemble castral est démonté petit à petit pour la réutilisation des matériaux dans la ville : bois de chêne, tuiles, carrons savoyards, pierres d'encadrement... Description : Le château est un polygone de 308 m environ de périmètre, ponctué de six tours (cinq tours rondes et une tour carrée). L'entrée se fait par une porte munie d'un arc brisé. La hauteur des remparts est de 10 à 12 m, d'une épaisseur variable de 1,80 m à 1,20 m. Aujourd'hui, tous les bâtiments intérieurs aux remparts ont disparu (donjon, logements seigneuriaux, chapelle près de la tour dite du Courtil, logis, cuisine, fours à pain, écuries, latrines…). Les traces de la "haute cour" et de la" basse cour" subsistent par une nette différence de niveau. Matériaux gros oeuvre : Brique (carron),Pierre taillée Matériaux ouvertures : Pierre taillée,Brique,Bois Matériaux couvertures : Tuile canal Historique : Au début du 11e siècle, l’existence d’un château est attestée à Châtillon-sur-Chalaronne. Il s’agit d’un modeste château, construit principalement en bois, ainsi que sa palissade, et qui va donner son nom « castellio » à la petite bourgade qui se construit à ses pieds, sur la rive gauche de la rivière Chalaronne. Établi sur un éperon morainique, entouré par la Chalaronne au nord, par la rivière Relevant à l’ouest, il est muni d’un fossé sur son troisième côté, au sud. Il occupe ainsi une belle position défensive. En 1272, par le mariage de Sybille de Bâgé avec Aimé (ou Amédée) de Savoie, la seigneurie de Châtillon passe à la Maison de Savoie. Les comtes de Savoie sont conscients de l’intérêt stratégique du château de Châtillon et vont décider d’en faire une véritable forteresse. Les travaux vont s’étaler pendant plus d’un siècle entre 1287 et 1423. La forteresse va être construite en carrons savoyards, les pierres taillées étant réservées à certaines utilisations particulières : jambage des ouvertures, archères canonnières… De leur côté, au même moment, les Châtillonnais vont procéder à la construction des remparts qui vont entourer la « ville neuve » s'établissant sur la rive droite de la Chalaronne, et se raccorder à la forteresse. Le château est placé sous l’autorité d’un « châtelain », nommé par le comte puis le duc de Savoie (la Savoie est érigée en duché en 1416 par l’empereur Sigismond 1er). Il est assisté par quelques hommes d’armes. En 1536, pendant les huitièmes guerres d’Italie, la Bresse est envahie par les armées de François 1er. Mais en 1559, par le traité de Cateau-Cambrésis, la Bresse est restituée à la Savoie. C’est la fin de la première annexion française. En 1595, débute une nouvelle guerre franco-savoyarde. La Bresse est à nouveau envahie par les armées françaises, sous le commandement du maréchal de Biron (Charles de Gontaut, duc de Biron, 1562-1602). Cette occupation devient définitive et est entérinée le 17 janvier 1601 par le traité de Lyon. On peut noter que le château et la ville de Châtillon ne sont assiégés qu’une fois, en 1596, par une troupe française commandée par le seigneur de la Bastie. Le siège ne dure que deux jours et le sac de la ville semble être évité par le paiement d’une rançon de 200 livres. Dès lors, Châtillon n’est plus une ville frontière dans le territoire français auquel elle appartient désormais, et le maintien du château n’a plus de raison d’être. On peut penser que ce sont les habitants eux-mêmes qui se chargent de le « raser » pour en récupérer les carrons, que l’on retrouve d’ailleurs dans la ville dans nombre de bâtiments. Geolocalisation WGS84 : 46.1177330066087 - 4.955000281333923 Protection : Inscrit ISMH (inventaire supplémentaire des MH) 22-02-1927 Documentation : Compte de Pierre d'Estrées, receveur de la châtellenie, cote B 7560, Archives de la Côte-d'Or; Compte de Mermet Cadout, châtelain, B 7562, Archives de la Côte-d'Or; Bernard Koch, Châtillon-lès-Dombes, le château fort et la poype originelle, 2014; Octave Morel, La vie à Châtillon-lès-Dombes d'après les comptes de syndics, 1375-1500 , 794, Hachette - BnF, 1925 réédité en 2018; Christine Cercy, Châteaux savoyards de Bresse, Bâgé, Châtillon, Miribel et Montluel, de la moitié du 14e siècle à la moitié du 15e siècle d’après les Comptes de châtellenie, Mémoire de maîtrise - Université Lumière Lyon 2, 1996; Adrien Favre, Histoire de Châtillon-sur-Chalaronne, 136, Imprimerie Banderier, 1972 |
Châteaux de briques en Dombes - Patrimoine(s) de l'Ain Résumé : Châteaux de briques en Dombes Peu de régions françaises ont conservé un ensemble aussi évocateur de fortifications médiévales en briques rouges que ces fières bâtisses dombistes, étonnante production de l’art militaire. Plusieurs châteaux ... |